Bovins de boucherie Demande réservée dans les femelles de qualité bouchère
Dans le secteur allaitant, les acheteurs expriment peu de besoins. Leur demande se concentre sur l’entrée de gamme pour alimenter les outils de transformation et pour le minerai de races à viande.
Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.
En face, l’offre n’est pas très abondante, ce qui permet de maintenir les prix dans les femelles de qualité bouchère. En réformes laitières, l’activité commerciale se montre assez soutenue en ce début d’année. Les disponibilités se retrouvent insuffisantes pour satisfaire les besoins des industriels.
Sur le marché de Cholet, les vaches de races à viande standards se vendent sans difficulté. Les charolaises R se négocient de 4,10 à 4,30 € en fonction de l’âge et du poids, avec une moyenne stable à 4,25 €.
Les transactions sont un peu plus calmes du côté des bonnes vaches charolaises U. Leurs tarifs dépassent difficilement 4,40 €. La demande est un peu moins soutenue dans la viande de haut de gamme, même si les prix se maintiennent entre 4,80 et 5,30 € parmi les bonnes génisses et jeunes vaches blondes d’Aquitaine U.
En réformes laitières, les tarifs des vaches prim’holsteins P+/O− restent compris entre 3,45 à 3,55 € en fonction des abattoirs. La grande majorité des femelles P= de poids convenable se vend de 3,30 à 3,45 €.
Les réformes de conformation inférieure (P−1) demeurent faiblement valorisées de 2,20 à 2,80 €. Les bonnes vaches normandes ou montbéliardes O=/O+ se commercialisent quant à elles autour de 3,75 €. Les femelles mixtes maigres partent au prix des frisonnes.
[summary id = "10047"]
Pour accéder à l'ensembles nos offres :